Maladresse à la plus expérimentée. [Pv. Plume de Corbeau.]

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Oiseau de Neige & Plume de Corbeau.
.Maladresse à la plus expérimentée.

Maladresse à la plus expérimentée. [Pv. Plume de Corbeau.] 1686234220

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Des rêves délicieux ornaient mon rêve. Je me revoyais, avec mon frère, au camp. Au chaud, en sécurité. Comme nous paraissions serein ! Ce temps, je l’enviais. Je voulais y retourner, profiter pleinement de chaque temps, chaque secondes en compagnie de mon frère. Mais lorsque je revins à la dure réalité, les larmes me montèrent aux yeux, me brûlant les joues au passage et allèrent s'effondrer au sol dans des éclaboussures. Mais je posa ma patte dessus pour la camoufler et ne laisser aucune trace de ma déception et de ma tristesse. Si seulement je n'étais pas sortie, ce matin là ! Si seulement ! Aujourd'hui, il ne serrait pas mort, et je ne soufrerais pas autant. Je me leva, les membres endoloris. Je n'y fis rien. Je lui devais d’honorer sa mémoire. Et comme à tous les matins depuis sa mort, je me rendis au ravin où il avait sombrer. Je regarda tout au fond, où on ne voyait pas le point final. Comme une crête sans fond. J'y resta lorsque le ciel perdu de sa magnifique teinte rosé et devint définitivement d'un bleu azur. Sans nuage annonçant de pluie, ou de neige. Je me leva. La queue traînante, je ne voulais pas retourner au camp. Je n'y avait pas l'humeur. Voir les gens se promener, parler, sourir et rire me brisait le coeur. Je parti alors dans la direction opposée.

Mon estomac criait. Il exigeait qu'on le remplisse. Alors, je ne pus l'ignorer infiniment. Je parti à la chasse, tous sens à l’affût. Alors, le fumet si délicieux d'un lapin attira mon attention. Mes griffes sortirent, mes pas se firent plus silencieux et plus souples. Mes gestes devinrent plus lents et coordonnés. J’aperçus alors la petite bête. Petite queue brune camouflant le reste de son petit corps, il grignotait les quelques touffes d'herbes qui s'agitaient sa et là. Inssoucient du danger, comme je l'étais, chatonne. Mais chassant cette pensée, je banda mes muscles, pris mon élan et sauta. Mes pattes aggripèrent le rongeur et mes griffes s'accrochèrent à sa chair. Et lorsque mes pattes arrières touchèrent le sol, mes crocs entouraient déjà son cou, et ils se refermèrent en un coup. Son sang imprégna ma gueule, et son goût métallique me dégoûta. Je me releva, toujours sur mon territoire. Je me trouva l'ombre d'un buisson, et le dévora. Il ne restait que se os, et je les enterra. J'eus fais aussi une brêve prière pour le Clan des Étoiles pour le gibier, assisté d'une prière pour mon jeune frère.

Puis, me sortant de mes esprits, un pigeon s'envola subitement. terrifier, il piaillait à la mort. Méfiante, je m'approcha, lentement, silencieusement. Je regarda dans la direction d'où venait le volatile, mais trop tard. Un poids s'abatta sur mon dos. J'eus le souffle coupé. mes pattes s'affaissèrent, et je me retrouva au sol.. Je reconnu le territoire. Malheureusement, j'avais franchi la frontière sans m'en rendre compte. J'étais désormais sur les terres du tyran qui tien tous les clans dans sa patte...

Plume de Corbeau sorti de la Ferme de son Maître. Ce dernier lui avait donné l'ordre cette fois de surveiller les frontières, et le mâle borgne devait obéir même si il préférer de loin chasser, il n'avait pas le choix de toute façon. Si jamais un inconnu pénétrer ici, il ne savait pas quoi faire du tout! Son maître lui avait donner goût à la "peur" du coup, il se sentait incapable de tuer quelqu'un sur le territoire du Grand Etoile du Lion. Mais il ne pouvait pas fuir non plus, il décevrait son Chef et qui sait quelles punissions aurait t'il en retour. Le borgne s'avança prudemment au frontière du territoire, il n'avait aucune idée si il devait marqué le territoire où pas, mais il pensa que c'était à son maître de le faire. Plume de Corbeau avait perdu sa confiance en lui maintenant qu'il était entre les pattes du Tyran, seul lui pouvait décider ou non de son destin. Ses esclaves était pour lui telle des insectes, qu'il écrasé à sa guise, et que seul lui pouvait décider de garder en vie ou pas, d'arracher des pattes à certain et pas d'autre. Etoile du Lion se montrer de plus en plus exigent envers ses sbires, il en attendait beaucoup trop d'eux. Plume de Corbeau se fessais frapper par ce monstre à longueur de journée, pour une parole mal prononcé, pour un regard mal placé, pour un inclinement mal enchaîné, le Tyran trouver n'importe quel prétexte même stupide pour leur faire payé.

Un soir Plume de Corbeau c'était demander pourquoi le Tyran agissais de cette manière, car aucun chat, s'il est bien dans sa tête ne peut agir comme sa. Pourquoi était-il gentil qu'avec sa nouvelle compagne Nuit Sanglante ? Il n'avait pas était aussi gentil avec Belle de Nuit ou les autres. C'était sur pour lui Etoile du Lion cacher une souffrance, les rares fois où il se rappeler de ses parents, sa mère lui disais souvent quand certain chatons de son âge l'embêtais à cause de sa fourrure noir qu'ils caractérisais comme la couleur des Tyrans. "Si quelqu'un est méchant avec toi, c'est parce qu'il souffre intérieurement, un chat bien dans sa tête sera gentil avec tout le monde, souvient toi en."Ses paroles résonnait sans cesse dans sa tête. Le Tyran avait souffert, mais qui l'avait fait souffrir et comment ? Peut être avec les femelles ? Ou son enfance ? Plume de Corbeau m'avait pas assez d'information, les seuls à en avoir c'était Croc Noir, Pelage de Bronze et Nuit Sanglante, mais ils ne lui diraient surement rien. Croc Noir lui, trottais toujours derrière Etoile du Lion, tel un chien à ses bipèdes, il ne lui dirai rien, Pelage de Bronze était un de ses fidèles lieutenant, aucune chance avec lui, quant à Nuit Sanglante c'était sa compagne et pire encore comme le Tyran l'aimait follement et qu'elle avait mauvais caractère les esclaves devait lui obéir aussi.

Plongée dans ses pensées Plume de Corbeau ne remarqua pas qu'une autre odeur suspecte avait mêlée la sienne à celle du territoire de son Maître, sur le qui-vive, le chat borgne s'avança prudemment, il avait peur certes, mais chasser un inconnu serai plus facile que d'échapper à la fureur du Grand Tyran. Il essaya de rentrer sous la neige, à cause de sa fourrure noir qui était trop voyante dans cette étendue glacée. Il devait sauter sur le dos de l'ennemi ! Il avait si peur, son coeur battait très vite et plus il avait à pas de loup vers la féline blanche plus il tremblait de peur, mais il devait le faire, il voyait déjà le regard brûlant d'Etoile du Lion et le son colérique de sa voix. Plume de Corbeau secoua la tête et bondit dans réfléchir sur l'ennemi, le peu de griffe qu'il lui rester dehors, son regard borgne sur elle, ses oreilles déchiqueté en avant, la voix tremblante :

- Tu..tu EST SUR LES TE...TERRES du...du Grand..Et...Etoile du Li..lion! Qu...que fais-tu là ?

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Je sentais des points dans mon dos. Pas aussi pointu que des griffes, mais aussi lacérantes que celles étant en un morceau. Je sentais chaque petites imperfections dans ma chair et je sentais le sang couler sur ma fourrure. Coller contre ma peau et emmêler mes poils. Cette sensation était dérangeante. De plus, la situation me dépassait comme je la trouvais impossible. Comment ais-je bien pu franchir une frontière aussi dangereuse, évidente et interdite ? Mais comment ais-je pu être aussi inconsciente ? Si seulement ! Si seulement j'avais été bien plus attentive... Mais son poids m'empêchait d'approfondir mes pensées. Je ne pouvais plus me concentré.

- Tu..tu EST SUR LES TE...TERRES du...du Grand..Et...Etoile du Li..lion! Qu...que fais-tu là ?

Son ton était tremblant. Il n'avait pas du tout l'air sur de ce qu'il disait. Bon, il était sûrement esclave du point de vue où il appelle ce moins que rien de chef le "Grand Étoile du Lion"... Puis, ne voulant pas en rester là, je roula sur le dos. Il décrocha de ma fourrure, et je pus me libéré. Son poids de moins me fit un plus grand bonheur. Alors, je joua des épaules pour me dégourdir les muscles. Mon regard se posa sur le félin au pelage noir. Tout le contraire de moi. Ses yeux bleutés étaient magnifiques, mais l'un d'eux paraissaient dénudé de vie. Il était vitreux, absent. Mais pourtant, son charme restait toujours. Malgré tout cela, je fus horrifié de voir sa fourrure parsemée de cicatrices, de griffures et de morsures. Ses moustaches n'étaient pas du tout égales, et ses oreilles étaient déchiquetés. Leur vie était donc si difficile ? Si atroce ? Mais dans ce cas, pourquoi ne pas fuir ? Mais lorsque j'y repensa, cela me parut évident. Il serait retrouver et tuer pour trahison... Vivre sous cette constante surveillance, cela devait être supportable.

Mais devant ce guerrier, je ne pouvais surtout pas penser à ce qui pourrais m'arriver. Il avait endurer bien plus que des attaques de jeune guerrière. Il aurait sûrement bien plus de facilité, et beaucoup moins de douleur à endurer les minimes souffrances de ma part. Je n'étais même pas sûre du tout d'être seule avec lui, là aux abords de la frontière séparant ses terres et les miennes. Je fus mon possible pour ne rien laisser paraître de ma peur et de mon anxiété.

«J'ai franchi la frontière par mégarde. Je suis terriblement désolée... Un bruit m'a attiré, mais je n'ai pas du tout pris garde...»

Mais je savais qu'implorer mon pardon, même à genoux n'en ferait rien. Il me tuerait. C'était certain. Je devais payer pour mon inconscience et ma curiosité ! Je n'osais point bouger, car je redoutais qu'il ne me saute dessus, et qu'une fois pour toute, le combat commence et qu'un seul félin ne sorte vivant, ou presque de la bataille.

«J'ai franchi la frontière par mégarde. Je suis terriblement désolée... Un bruit m'a attiré, mais je n'ai pas du tout pris garde...»

Plume de Corbeau ne savait pas quoi du tout, la relâcher ? L'inconnu c'était excusé et était consciente désormais de la frontière, elle ne la franchirai surement plus. Ou alors devait t'il par méfiance écouter les ordres ? Plume de Corbeau n'avait jamais était sur de lui de tout façon. Il avait peur de se battre avec elle, il savait que c'était lui qui allait perdre et son Maître n'allait pas l'accepter du tout. Le borgne lâcha prise, il voulais écouter son coeur pour une fois, plutôt que les ordre de ce monstre bien qu'il lui était fidèle. Oui fidèle, à cause de la peur, si il pouvait s'enfuir il le ferai ! Il essaya de s'avançer vers elle de façon à se qu'elle recule de l'autre coté de la frontière, mais il se trouver ridicule, et puis il ne pouvait continuer comme ça, elle était trop loin de la frontière pour qu'il la pousse encore longtemps, alors la voix tremblante il demanda :

- Je...je va...vais...te...te...de...de...demander...de...de...par...par...partir

Il était pas très conviant mais il espérer que la minette blanche comprendrais, il regarda autour de lui, personne, pas un esclave, ouf... personne ne serai témoin de la scéne et Etoile du Lion était surement dans sa Ferme en train de dormir ou de donner des autres, de la où il était il ne pouvait pas voir, même pas par la fenêtre cassé car un buisson venais justement la caché.

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Je ne savais plus si je devais ressentir une peur folle de mourir en cet ignoble endroit, ou bien de prendre cette situation comme un simple obstacle facile à vaincre et de ne pas m'en soucier. Mais comme je savais que se fier aux apparences équivalait à marcher sous le nez d'un renard, je savais très bien ce que je devais faire. Rester sur mes gardes, ne point montrer de faiblesses devant ce félon et garder mon sang-froid. Le félin au pelage d'ébène avait sûrement quelques tours cachés quelque part.

« Je...je va...vais...te...te...de...de...demander...de...de...par...par...partir »

Décidément, il n'avait pas du tout l'air convaincant. J'hésitait à adopter un air décontracté, moqueur ou un air apeuré et fuyant. Je ne voulais pas l'offenser, mais il avait l'air mal en point. Il était face à un ennemi, et il devait refuser de se battre pour ordonner quelque chose sans devoir prononcer un début de mot trois fois. Même si le fait qu'il refuse de se battre m'emplissait de bonheur, une colère sans faille s'anima en moi. Mon sang bouillonnait et je savais que ce Étoile du Lion n'était qu'un simple hypocrite, qui n'était qu'un vulgaire personnage qui avait dû recevoir une peine mais qu'il n'a su surmonté et désormais, nous payons le prix de sa faiblesse. J'étais frustrée, mais je ne pouvais rien n'y faire. Simplement penser.

« Tu ne trouve pas que tu vaux mieux que lui ? Tu sers une personne qui est trop lâche pour se nourrir seul. Toi, tu endures tellement de souffrances ! Si je dois partir pour t'en évités de nouvelles, je partirais de ce pas, mais saches que je crois dur comme fer que ton destin n'est pas avec lui. »

Je continuais de regarder le mâle à la fourrure striée de griffures. Je ne quittais pas ses yeux des miens, en reculant vers la frontière. Je la traversa à reculons. Je m'arrêta de mon côté, celui de mon clan. Le vent dans les arbres sonnait comme un son lugubre. Un frisson me parcouru. Je ne voulais point rester ici, mais il le fallait.. non ?

« Tu ne trouve pas que tu vaux mieux que lui ? Tu sers une personne qui est trop lâche pour se nourrir seul. Toi, tu endures tellement de souffrances ! Si je dois partir pour t'en évités de nouvelles, je partirais de ce pas, mais saches que je crois dur comme fer que ton destin n'est pas avec lui. »

Plume de Corbeau baissa la tête, de sa propre opinion personnelle il savait du plus profond de son être qu'elle avait raison, mais ici, à la ferme c'était Etoile du Lion qui dicter ce qu'il devait penser, il avait totalement pris le contrôle sur tout. Sans le quitter du regard elle recula vers la frontière de son territoire, après être chez elle, le borgne ne pouvait plus rien lui faire, il s'approcha donc à son tour, une chance que ce n'était pas un chat avec un fort caractère, ou alors peut être que... c'était lui qui fessais peur avec ses paroles pas très convaincante ou ses tremblement dans sa voix, ou son allure. Il se décida néanmoins à répondre tout de même :

- mer...merci...je...je le...sais...mais...mais...pas...pas de re...rébe... rébellion. Mer...merci

Plume de Corbeau baissa ses "morceaux" d'oreille qui lui rester, il remercia cette chatte du plus profond de son être pour sa compréhension, il aurai bien voulu encore parler avec elle, pour une fois qu'il pouvait avoir une discution a peu près normale avec quelqu'un sa ne serai pas du tout de refus, mais les corvées allait l'appeler, et si son Maître découvrait se qu'il fessais sa serai la catastrophe, mais peut être que la minette blanche pourrai l'aider ? Le borgne se sentit incapable de bouger, sauf pour regarder autour de lui, mais aucune trace du Tyran... ouf!

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- mer...merci...je...je le...sais...mais...mais...pas...pas de re...rébe... rébellion. Mer...merci

Il s'approcha de la frontière, une fois que je l'aie traversée et rejoins mon territoire respectif. Je sentais chez ce chat une certaine.. incertitude ? Il restait là, à ne pas bouger, sauf pour regarder furtivement autour de lui. Il avait sûrement eu une vie d'enfer avec ce Étoile du Lion. J'étais certaine qu'au moindre craquement de feuille, il sursauterait et irait se cacher avant qu'on ne le repère et ne le rapporte au meneur, ci ce n'est pas lui qui arrive.

Justement, une petite branche sur le sol se casa et émit un bruit sec. Je baissa les yeux et appercevit une souris se dandinant au milieu des herbes folles. Jetant un regard rapide au matou noir, je m'accroupis sur le sol. Je vérifia une autre fois que le rongeur était du bon côté de la frontière. Quel malheur ce serait d'enfreindre la règle deux fois en moins de quelques minutes ! Mais non. Le mammifère était sur mes terres. Alors, je m'approcha d'elle, lentement mais sûrement. Puis, lorsque je fus assez près, je bondi et lui cassa la nuque. Je pris le corps frêle dans ma gueule. Puis, je fis une réflexion. Les partisans d'Étoile du Lion étaient comme cette souris. Prise au piège dans un monde pas du tout fait pour eux.

Je m'approcha de l'esclave et lui lança la proie. Elle retomba à ses pattes.

«Tu as maintenant un prétexte pour traîner par ici. AU fait, comment a tu fais pour être à son service ?»

J'avais vraiment le goût de savoir, Savoir pourquoi il s'était abaissé à lui et comment ce tyran a fait pour l'abaisser à sa volonté..

Plume de Corbeau regardait sans cesse derrière lui, il avait peur qu'Etoile du Lion débarque et recommence son jeux de question qui n'avait aucun sens, il se contredisait lui même pour obliger l'esclave à dire la vérité que le Chef ne voulait pas entendre, et même si l'esclave mentait, le Tyran le savait et de toute façon, dans ce jeux, le gagnant c'était toujours Etoile du Lion. Plume de Corbeau fessais tout se qu'il pouvait pour éviter un maximum que son Maître soit en colère contre lui. Il vit que la minette à la belle fourrure blanche se jeta sur une souris avec agilité, qu'il aurai aimé avoir les mêmes techniques qu'elle, il l'enviait. Rien qu'à l'odeur du fumet de souris, le borgne en eu l'eau à la bouche. Il n'avait rien mangé depuis deux levée de soleil, mais il fallait toujours une autorisation du Tyran pour mangé, il fallait s'assurer qu'il ai mangé à sa faim, et ensuite avec un peu de chance, s'il rester des proies, alors seulement les quelques esclaves soigneusement sélectionné par le Tyran pouvait mangé, mais, il fallait ce faire remarqué dans la journée, montrer qu'on avait attrapé beaucoup de proies, montré qu'on était dévouée pour être sélectionné par le Chef. Jamais, ou pratiquement pas Plume de Corbeau n'était choisis pour manger un bout. Le Tyran les avaient rendu égoïstes, le borgne pensait que malgré cette épreuve les chats allaient être solitaire entre eux, mais c'était tout le contraire...

La minette s'était approché de lui et lui lança la proie, Plume de Corbeau ne pouvait pas accepter! Si son Maître le savait il était cuit! Il regarda de nouveau derrière lui, et se cacha vers en buisson en s'aplatissent le plus bas possible pour éviter que le Tyran le repère. Coeur de Panda lui disais souvent qu'il fallait qu'il désobéisse un peu pour survivre, alors il la remercie de son unique oeil bleu, et mangea la souris si vite quand trois bouché elle fût fini, bien sûr sa ne l'avait pas rassasié pour autant mais il la remercia tout de même, sa pourrait l'aidé à tenir un peu plus dans sa journée.

«Tu as maintenant un prétexte pour traîner par ici. AU fait, comment a tu fais pour être à son service ?»

Il ne devait pas manger la souris ? C'est ce qu'elle avait insinué ? Il paniqua et regarda derrière son épaule, les muscles tendu, la respiration rapide, il la toisa, oubliant rapidement la souris il se concentra sur sa deuxième phrase. Il n'avait jamais était comme ça avant, autrefois il s'appelait Corbeau, c'était un chat errant fier, et arrogant, pas de mal de chat l'évitait, car il ne l'apprécier tout simplement pas. L'arrogant chat errant, était parti chassé, près d'une vieille en bois, il avait attraper une belle prise, le chat noir avait aperçu deux chats faméliques, trop égocentrique à l'époque il ne partagea rien. Les minous était parti. Plus tard, un énorme chat à la fourrure brune et noir au yeux ambré, s'est attaqué à lui. Il avait beaucoup de force et Corbeau ne fit pas tardé à être maîtrisé. Il l'avait amené dans la vieille cabane ou plein de chat à fourrure cicatrisé travailler et courait. Le grand chat lui annonça que maintenant qu'il était ici, il lui servirai d'esclave. Mais le jeune chat ne lui obéissait pas et maintenait ses positions, mais le Tyran savait y faire, il donné des ordres, l'aplatissent au sol, le menaçant, et un beau jour, il lui arracha l'oreille puis un oeil...Ces alors que Plume de Corbeau (baptisé) pris peur, et le Tyran s'était nourrit de cette peur pour parvenir à ses fins.

Le borgne ignora combien de temps il avait pensait, combien de temps s'était écoulé ? une heure ? Tout l'aprés-midi ? Il regarda le soleil, peut être simplement une fraction de seconde. Il répondit enfin, les yeux rivés au sol, s'enfonçant dans son buisson, le voix tremblante :

-Je..je...je ne l'ai pas...je ne l'ai pas voulu.... c'est...c'est qui....qui m'as...fait du...du mal...po...pour qu...pour que je....lui...obéisse...

Plume de Corbeau avait du mal à parler mais pour une fois, sa lui fessais du bien de partager ses peines avec une chatte d'un clan. En espérant qu'elle garderait sa pour elle...

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